Je puis comprendre les raisons bassement capitalistes et mercantiles et hautement débiles et inutiles poussant certaines personnes à nous harceler de publicités sur internet. Je ne puis comprendre qu'un blog mort et non lu en soit victime.
]]>Le changement de classe d'équivalence sera peut-être intéressant. Le doute plane néanmoins, avec des rase-mottes sur la pelouse de l'appréhension. Au moins sera-ce une classe plus calme et plus appréciée. Peut-être même sera-t-elle fractale dans les parties positives de l'espace à 5 dimensions (minimum).
A part cela, les distractions se feront plus nombreuses avec les stages de mathématiques dont je me délecterai (j'espère), les concours auxquels je compte bien participer et une passion nouvelle pour la physique einsteinienne qui va m'amener de Maxwell à Schrödinger en passant par Planck et évidemment Poincarré, pour rebondir sur Riemann et Lobatchevsky afin de revenir à ma légitime. Me voilà bien occupé, même si évidemment je ne ferai pas le trente-septième de ce que je désire faire lors du quarante-et-unième du temps qu'il me faudra pour le faire qui représente le temps dans lequel j'aurais voulu faire ces trente-sept trente-septièmes.
J'ai cassé mon support pour feuilles qui m'avait soutenu dans les moments les plus difficiles depuis plus de cinq ans au moins me semble-t-il. Je doute qu'il soit réparable et je devrai donc me rendre au Club prochainement.
]]>Théorème de la frustration : La frustration éprouvée par celui qui tente de résoudre l'ensemble M est lié de manière proportionnelle et exponentielle au nombre k d'éléments de F, modulo le nombre i de problèmes non résolus
Il faut distinguer deux cas : soit M a déjà été résolu par quelqu'un d'autre (et vous est donc soumis à titre d'épreuve par exemple), soit il ne l'est pas (et ses éléments sont alors des conjectures). Dans le deuxième cas, le théorème est à la fois trivial et semi-non-applicable : en effet, d'avoir infirmer une conjecture peut être gratifiant, mais sera en général frustrant si vous étiez fort attaché à la conjecture, et le sera certainement si vous désiriez rentrer dans l'Histoire. Nous nous intéresserons donc au premier cas.
Par hypothèse, M a été résolu par une personne autre que vous, et donc M a été formulé par cette personne. On s'attend donc à ce que cette personne ait formulé les éléments de M comme il les a trouvés, et nous demande de les trouver. Si F est un ensemble non-vide, nous pouvons supposer deux cas :
Le permier cas nous amène à "quelle genre d'erreur ?". Cette erreur peut être de distraction, si notamment l'élément faux peut devenir vrai en modifiant un petit nombre de sous-éléments de cet élément. Si cependant l'erreur ne peut être ainsi corrigé (cas typique d'une négation non-écrite en langage mathématique), on peut penser que l'erreur vient de la démonstration fournie par le Fermat qui nous a soumis M. Cette supposition est vite écartée si la personne qui nous a soumis M est investi d'une certaine autorité et expérience qui ne devraient pas permettre d'erreur dans les problèmes du niveau de ceux de M (ce qui signifie donc que le coefficient de proportionnalité est intrinsèque à la difficulté des problèmes).
Nous sommes donc assez rapidement amenés à penser qu'il s'agit d'un piège. Un piège sournois destiné à nous fourvoyer dans la démonstration à envisager. Si F est un singleton, cette solution est relativement acceptable. Cependant, plus k croît moins cette solution est crédible, car elle l'était déjà peu au départ. En effet, quel est l'intérêt d'un piège en mathématique ? Si vous vous lancez dans la démonstration de la proposition fausse soumise, vous aboutirez, si votre démonstration est solide, à une contradiction, et vous aurez donc réalisé un raisonnement par l'absurde sans le savoir. Il est donc permis de douter de cette solution. Si k est petit, cette solution est envisageable, mais la limite de cette solution tend vers l'absurdité quand k tend vers l'infini.
Mais alors, pourquoi F existe-t-il ? Ne sachant répondre à cette frustrante question, vous revérifiez votre démonstration. Parfois cela diminue k, souvent pas.
Quand vous remettez à la personne qui a créé M l'ensemble M' de vos solutions pour M, vous avez déjà maintes fois vérifier vos démonstrations que vous considérez donc comme solides. Peut-être même avez-vous fait vérifier vos démonstrations par un tiers. Mais ce n'est pas suffisant. Il reste un doute. Et si l'autre ne s'était pas trompé ? Ces problèmes sont terriblements frustrants ! Pourquoi n'ont-ils pas été formulés autrement ?
Le théorème est ainsi démontré. La présence de "modulo le nombre i de problèmes non résolus" est d'origine triviale : ne pas savoir résoudre un problème est frustrant si l'on est attaché au domaine du problème, ce qui est supposé être le cas ici sinon il y a longtemps que vous aurez envoyé promener l'autre qui vous a soumis M.
Ceci pour dire que je suis terriblement frustré par cet ensemble F qui contient beaucoup trop d'éléments à mon goût, comparé au nombre d'éléments de M.
]]>
Titre : La Sagesse du Bibliothécaire
Auteur : Michel Melot
Éditeur : L'œil neuf éditions
Collection : Sagesse d'un métier
Collection oblige, le livre s'intéresse d'abord au bibliothécaire. Vantant sa modestie (confronté quotidiennement au grand nombre de livres qu'il ne lira jamais, le bibliothécaire mesure l'ampleur de son ignorance - non qu'il soit plus bête que les autres, mais qu'il s'en rend compte), Michel Melot rappelle qu'un bibliothécaire est rarement célèbre pour sa fonction de bibliothécaire (j'ai ainsi appris dans ce livre que Goethe, Borges et même Leibniz ont été des bibliothécaires, avant ou après de devenir célèbres pour autre chose).
Selon lui également, pour bien faire, le bibliothécaire ne devrait pas être unique : une étude avait recensé qu'une bibliothéque demandait une trentaine de capacités différentes. Cependant, si Michel Melot parle du bibliothécaire, il ne parle pas des bibliothécaires, à croire que ces gens sont des solitaires endurcis. Il est vrai que dans ma bibliothéque communale, je les entends peu parler entre eux, ni les vois d'ailleurs (puisque "chuuut, c'est une bibliothèque ici"). Pourquoi ?
Passons ensuite au livre. Auparavant, les écrits étaient enroulés, il s'agit des volumines, les fameux "rouleaux de parchemin". En déroulant le parchemin, nous avions directement un bref aperçu de tout le contenu du livre. Selon Suétone, c'est César qui le premier plia le parchemin inventant ainsi le livre. Outre l'intérêt de disposer de plus de surface d'écriture, le livre plié est également une succession de surprises. Vous ne savez pas ce qu'il y aura à la page suivante, cachée par celle que vous lisez.
Le livre désignait d'abord le support sur lequel on pouvait écrire, ces fameuses pages pliées. Il désigne maintenant, par métonymie, aussi bien le support que le contenu, mais aussi le concept même du livre (comme lorsque vous entendez "Le livre a de moins en moins de succès auprès des jeunes"). Cette abondance et évolution de sens marque l'importance du livre dans nos civilisations.
Michel Melot étudie d'abord les différences entre les bibliothèques européennes continentales et anglaises, et entre ces deux dernières et les nord-américaines (il ne fait que passer sur les bibliothèques asiatiques, africaines et sud-américaines). Ce serait des anglais que viendrait l'initiative de vendre les livres trop peu empruntés, idée encore difficilement acceptée sur le continent. Selon Michel Mélot, la British Library aurait été pendant longtemps en avance sur les bibliothèques européennes, tant du point de vue l'architecture (car l'architecture d'une bibliothèque est un art complexe qui fait partie des cours d'architecture) que du classement. Cependant, avec le temps, les différences ont tendance à s'amenuiser.
Plus intéressante est la comparaison avec les États-Unis d'Amérique, où la Public Library offre bien plus de services que le prêt de livres : assistance sociale, alphabétisation et cours de langues, livres lus et en braille pour les aveugles (un service fédéral est chargé d'envoyer ce genre de matériel aux bibliothèques), conseils juridiques. et même parfois prêt d'outils de jardinage ! Ceci s'explique par le système social des États-Unis : la Public Library doit jouer un rôle non rempli par la sécurité sociale (inexistante ou presque aux États-Unis). Pourtant, comme Michel Melot, je pense que, sans échanger nos systèmes de sécurité sociale, les bibliothèques européennes pourraient remplir un plus large rôle dans l'éducation et l'instruction publique, devenir plus incontournables, devenir un outil à part entière de cette éducation.
Voir également, sur le Figoblog (blog d'une bibliothécaire), , et un autre blog de bibliothéconomie (l'art de gérer une bibliothèque), BiblioAcid
]]>Pourquoi brève ? D'abord parce qu'il ne s'agit pas de blogs particulièrement spécialisés, il est évidemment possible de dégager une tendance générale mais on peut y trouver de tout. Ensuite, parce qu'on ne les présente plus.
Pourquoi ces trois-là ? Parce qu'il s'agit des blogs sur lesquels je vais le plus souvent, les deux premiers étant pour beaucoup dans l'existence même de ce blog-ci.
Premièrement, le blog de Paxatagore, le Paxablog. Paxatagore est un juriste, vous trouverez donc beaucoup de commentaires sur l'actualité juridique (et sur l'actualité tout court d'ailleurs), ainsi que de critiques du système actuel. Il publie également des fictions d'un humour très mordant. Un must à voir absolument. C'est parfois un peu technique, mais comme dirait ma professeur de français (enfin, mon ancienne professeur maintenant) "le premier droit du lecteur est celui de ne pas lire ce qui ne lui plaît pas". Mais Paxatagore a d'autres centres d'intérêts (l'Histoire et l'Europe par exemple), ma présentation est une vision un peu réductrice de Paxatagore, mieux vaut aller sur son blog pour apprécier toute l'étendue du personnage.
Deuxièmement, Somewhere, blog de ZamZam. Vous trouverez de tout sur ce blog, avec beaucoup d'humour (en tout cas un humour que j'adore). Méfiez-vous de la catégorie Désintégration, elle est plutôt du genre à vous serrer le c?ur (enfin c'est l'effet qu'elle me fait (remarquez que c'est parfois le cas de la catégorie Général, ZamZam ne semblant pas attaché de grande importance à la classification des billets par catégorie (qui sont, comme écrivait je ne sais plus qui, peut-être fort peu en adéquation avec le principe de blog))).
Enfin, citons le skyblog (beurk un skyblog, m'enfin soit intéressons-nous au contenu plutôt (et puis tout le monde n'a pas la chance d'avoir un ami juriste qui veut vous voir blogger ;-))) de Jedikatarn. Ce blog est principalement axé sur Star Wars, comme les fans de la série s'en seront doutés vu le nom du skybloggeur. Les films Star Wars, mais aussi l'Univers Étendu (ce qui ne figure pas dans les films, c'est-à-dire la soixantaine de bouquins et autres dérivés).
PS : Le correcteur orthographique de KDE me propose "Gaza" pour ZamZam... :-)
]]>La montre de mes rèves :
http://www.thinkgeek.com/gadgets/watches/6a17/
Pour faire de beaux rêves :
http://www.thinkgeek.com/cubegoodies/blankets/5a89/
Pour aussi faire de beaux rêves :
http://www.thinkgeek.com/cubegoodies/blankets/574a/
J'adore cette phrase :
http://www.thinkgeek.com/tshirts/frustrations/5aa9/
Bienvenue chez moi :
http://www.thinkgeek.com/cubegoodies/toys/69e3/
Pratique pour tricher en cours :
http://www.thinkgeek.com/tshirts/generic/6a20/
Et un dernier, dans le même registre, mais en héxadécimal :
http://www.thinkgeek.com/tshirts/frustrations/6596/
Après un éclair de lucidité, suivi de confessions et autres repentirs, vous décidez de vivre en gardant en mémoire votre ancien péché, que dis-je, votre tendance perverse, et de tenter de vous racheter. La faute est moins grave qu'elle n'y paraît, vous avez réussi, bien que plongé en enfer, à introduire quelques graines célestes. Vous aimeriez emporter vos récoltes dans les cieux, maintenant que vous y êtes admis. Bref, vous avez migré vers Linux en venant de Microsoft Windows, sous lequel vous utilisiez déjà Mozilla Firefox, et aimeriez récupérer vos extensions, vos thèmes et surtout vos marque-pages.
Pour les deux premiers, désolé, ce n'est pas possible, l'architecture des systèmes étant différente. Ce n'est pas trop grave, Firefox est excellement bien fait pour l'installation des extensions et thèmes (même sur Linux). D'un autre côté, cela m'a permis de faire un sérieux tri en ne gardant que ce que j'utilisais vraiment, je n'ai donc réinstallé que la moitié des extensions et le tiers des thèmes. Voilà qui n'est pas plus mal.
Pour les marque-pages, en revanche, il est tout à fait possible de les récupérer.
Tout d'abord, il est bon de savoir que Firefox enregistre les marque-pages dans un fichier HTML sobrement intitulé bookmarks.html
. Comme indiqué dans l'en-tête de ce fichier, n'éditez en aucun cas manuellement ce fichier, vous risqueriez de ne plus avoir accès à vos marque-pages ! En effet, il s'agit d'un fichier créé, modifié, lu et interprété automatiquement par le programme, donc si vous changer un élément cela risque de devenir illisible[1] (dans le sens que le programme ne pourra plus le lire, vous remarquerez que la lecture de ce fichier est déjà fastidieuse pour un humain).
Cependant, rien ne nous empêche de le remplacer par le fichier bookmarks.html
créé sous Windows : nous pouvons à juste titre supposer qu'il utilise la même syntaxe (et après essai je peux vous dire que ça marche (d'ailleurs si ça ne marchait pas je n'aurais pas fait de billet), donc qu'il utilise exactement la même syntaxe). Donc, sans rien modifier manuellement au sein du code, nous allons substituer notre fichier de marque-pages de Windows à celui de Linux.
Chez moi, le fichier bookmarks.html
sous Windows XP a pour adresse :
/mnt/windows/Documents and Settings/nom_de_ ma_session/Application Data/Mozilla/Firefox/Profiles/un_nom_bizarre.default/bookmarks.html
Si vous ne le trouvez pas, une petite recherche de "bookmarks.html
" dans le dossier /mnt/windows/*
(rappelons que /mnt est le point de montage des périphériques (disquette floppy, cd-rom, lecteur zip, clé usb, ...) et aussi des autres systèmes d'exploitation (ici Windows)) vous aidera. Normalement, vous devriez obtenir plusieurs résultats : il existe un fichier de marque-pages par défaut, ainsi qu'un par utilisateur (notons que Mozilla "tout court"[2] enregistre également ces signets dans un fichier bookmarks.html
). Ouvrez-les donc (sans les modifier !) pour déterminer celui que vous cherchez.
Sous Linux, ce fichier se trouve dans :
/home/nom_de_ma_session/.mozilla/firefox/un_nom_bizarre.default/bookmarks.html
Remarque 1 : sous Windows comme sous Linux, le fichier bookmarks.html
est installé dans un dossier caché. Les dossiers cachés pour Windows ne le sont pas pour Linux, mais s'ils sont cachés sous Linux (reconnaissable par le ".
" précédant leur nom), vous devez forcez l'affichage des fichiers cachés, dans le menu "Affichage > Afficher les fichiers cachés" sous Konqueror, ls -a
dans le terminal.
Remarque 2 : en rédigeant ce billet, je me rends compte qu'une fois dans le dossier firefox, le nom hétéroclite diffère entre Windows et Linux (je parle du .default
). Il diffère certainement aussi sur votre machine. Normalement, vous ne pouvez pas vous tromper, il n'y en a qu'un seul ;-)).
Il ne vous reste plus qu'à remplacer celui de Linux par celui de Windows. Par Konqueror, scindez la fenêtre en deux (Fenêtre > Scinder la vue gauche / droite ou Scinder la vue haut / bas selon votre préférence), et afficher chaque répertoire dans une fenêtre, suivi d'un glisser/déposer. C'est extrêmement simple.
Si vous n'avez pas Konqueror (remarquez que c'est certainement faisable avec n'importe quel explorateur de fichiers[3]), ou si Konqueror vous dit que vous n'avez pas les droits pour déplacer ces fichiers, utiliser le mode texte (tout est possible en mode texte sous Linux !). Écrivez donc ceci dans un terminal (les commentaires, précédés de #
, ne doivent évidemment pas être recopiés (mais si vous le faites quand même ils ne seront pas interprétés par le Shell[4])) :
[esope@localhost /]$ #On se met en root si l'on a un problème de permission [esope@localhost /]$ su root [root@localhost /]# #On se déplace dans le répertoire contenant le bookmarks.html de Windows [root@localhost /]# cd /mnt/windows [root@localhost windows]# #Pour le Shell, un espace, c'est un changement de paramètre ! [root@localhost windows]# #Comme ici les dossiers de Windows contiennent des espaces, on utilise des guillemets. [root@localhost windows]# cd "Documents and Settings"/[nom_de_ma_session]/"Application Data" [root@localhost Application Data]# cd Mozilla/Firefox/Profiles [root@localhost Profiles]# #Ici, on va chercher quel est le nom bizarre du dossier.default
. [root@localhost Profiles]# ls [root@localhost Profiles]# #(S'affichera alors le contenu du répertoire, tapez "cd [nom_bizarre_du_dossier]", sans oublier le.default
) [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #On vérifie quebookmarks.html
figure bien dans ce dossier [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# ls [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #On va le copier dans le répertoire adéquat sous Linux [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# cp ./bookmakrs.html /home/[nom_de_ma_session]/.mozilla/firefox [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #Et comme on ne connaît pas le nom du dossier bizarre sous Linux, on va le chercher [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# cd /home/[nom_de_ma_session]/.mozilla/firefox [root@localhost firefox]# ls [root@localhost firefox]# #Maintenant qu'on connaît le nom du dossier bizarre, on va déplacerbookmarks.html
dedans [root@localhost firefox]# mv ./bookmarks.html ./[nom_bizarre_du_fichier] [root@localhost firefox]# #Shell devrait vous demander une confirmation, puisqu'un fichierbookmarks.html
existe déjà dans ce fichier [root@localhost firefox]# #Ne faites pas le difficile, tapez "yes"
Vous n'avez plus qu'à lancer Firefox pour admirer le résultat.
Une fois mes marque-pages, je naviguais tranquillement sur l'océan Internet, quand je fus confronté à un problème : Mozilla Firefox n'enregistrait pas les modifications que j'apportais à mes marque-pages. Et pour cause : il n'en avait pas le droit.
En effet, j'avais installé Firefox (comme j'installe n'importe quel programme) en root, le super utilisateur de Linux. Pour des raisons de sécurité évidentes, je suis généralement, et particulièrement lorsque je vogue sur Internet, en utilisateur normal. Par conséquent, ni moi, ni Firefox n'avait le droit de modifier le fichier bookmarks.html
qu'utilise Firefox pour gérer les marque-pages (j'avais les droits de lecture, ce qui explique que je pouvais néanmoins accéder à mes marque-pages).
Si vous avez installé Firefox en tant qu'utilisateur normal, ce qui suit n'est probablement pas utile. Sauf si d'autres personnes utilisent votre ordinateur.
Pour arranger cela, il faut modifier les droits d'accès au fichier bookmarks.html
pour l'utilisateur, ou le groupe, qui utilise Firefox. Ceci ne peut se faire, à ma connaissance, qu'en mode texte.
Dans un terminal, écrivez ce qui suit (même remarque que précédemment pour les commentaires) :
[esope@localhost /]$ #On se déplace dans le dossier contenantbookmarks.html
[esope@localhost /]$ #Ce que vous savez faire, je l'ai expliqué au-desus ! [esope@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]$ #On passe en root [esope@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]$ su root [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #On va modifier les droits d'accès au fichierbookmarks.html
, [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #en utilisant la commandechmod
, à laquelle nous enverrons quelques paramètres. [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #Je ne vais pas rentrer dans les détails de la commandechmod
: [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #ceci prendrait trop de temps. [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #Sachez juste que je vais utiliser ici les paramètres avec des lettres, [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #et que là je donne les droits d'écriture (lew
) à tous (lea
). [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# chmod a+w ./bookmarks.html [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #Si plusieurs personnes utilisent votre ordinateur, [root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #recommencer l'opération pour les fichiersbookmarks.html
[root@localhost [nom_bizarre_du_dossier]]# #de chacune de ces personnes.
Tout commentaire et suggestion sont les bienvenus. J'accepterai également de vous aider, dans la limite de mes possibilités. Vous pouvez poser votre question en commentaire (peut-être que quelqu'un de plus éclairé que moi vous répondra), ou par mail dès que j'aurais automatisé ceci (c'est-à-dire pas tout de suite).
[1] Je ne me suis pas encore penché sur le code de Firefox, cela rentre dans un niveau beaucoup plus "bas" de programmation, qui ne m'intéresse pas pour le moment (donc je serais tout à fait incapable de vous aider en cas de problème)
[2] J'en déduis donc qu'il s'agit d'une des caractéristiques du moteur Gecko
[3] Mais peut-être que la fonction bien pratique de Konqueror permettant de scinder la fenêtre en deux vous manquera et que vous devrez ouvrir deux fenêtres (notez que vous pouvez également copier ce fichier pour le coller dans le bon dossier (bref les possibilités ne manquent pas !))
[4] Puisque ce sont des commentaires !
:)
(le plus couramment utilisé) :d
, :p
et parfois ^o)
.Je compte également bientôt améliorer, voire complètement modifier, l'apparence de mon blog. Il y a des trucs qui me gênent, mais je ne sais pas vraiment quoi. Ou alors, à la mode zamzamienne, je recommence un thème de A à Z, le nombre de points communs avec l'ancien thème tombant à zéro. Ce ne serait pas une mauvaise idée, cela m'entraînerait pour le CSS.
Ceux qui suivent (mais je ne me fais pas d'illusion) se demanderont certainement (pas d'illusion je vous dis) ce qu'il est advenu de la catégorie. Et bien, comme les plus assidus (toujours aucune illusion) l'auront remarqué, vous pouvez voir à droite ladite catégorie, et son premier représentant ici. Pour ceux que cela intéresse (il faudrait vraiment que j'arrête avec mes illusions, qui écrit du grec sur son blog ?), il faut modifier le nom de la catégorie dans la base de données, en remplaçant les &
par des &
tout courts. Merci à Zamzam pour cette solution.
[1] Le logiciel que j'utilise sur Linux pour pouvoir discuter avec les utilisateurs de MSN. Gaim gère en outre une dizaine de protocoles (dont Jabber et ICQ). Le site est en anglais, mais le logiciel en une quarantaine de langues, dont le français, le slovène, l'hindi, l'azerbaijani, l'amharique et l'anglais australien, avis aux amateurs. Il est disponible pour Mandrake, Red Hat, Fedora, et même pour Windows.
«That's too warm. Usually, that's drunk cool, with ice cubes. That isn't good enough, that's too warm.»
That wasn't cool, fortunately for us, what would you have done else !
]]>Avec l'avènement des claviers et l'ère de la miniaturisation, c'est au tour des doigts de prendre le relais. Le bras de fer chinois[1] gagne des parts de marché dans les cours de récréation et autres cantines scolaires. Bientôt, prendre des cours de violon, piano, flûtes et autres instruments de musique sera considéré comme un entraînement indispensable à la bonne pratique des jeux vidéos. Nous ne ferons plus des pompages, mais bien des séries de "mains ouvertes - mains fermées" (je remarque d'ailleurs que maintenant j'éprouve plus de facilités à faire ce genre d'exercices qu'à faire des pompages (mais je n'ai jamais été très fort pour les pompages))
Special thanks to Zamzam this post would have never existed without
[1] Au passage, si quelqu'un connaît l'origine de ce nom, cela m'intéresse. Est-ce dû à la taille globalement plus petite des Asiatique ?